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Les
rayons X sont non ionisants ( faux).
Le matériau le plus efficace pour atténuer les rayons X est : du
plexiglas, du verre, du
plomb, de la porcelaine électro-isolante à haute teneur en
aluminium.
Les UV sont
:
A) Dans une plage de longueur d'onde supérieure à celle du visible et
l'énergie d'un photon est supérieure à celle d'un photon du visible.
(faux).
B) Dans
une plage de longueur d'onde supérieure à celle du visible et l'énergie
d'un photon est inférieure à celle d'un photon du visible. (faux).
C) Dans
une plage de longueur d'onde inférieure à celle du visible et l'énergie
d'un photon est supérieure à celle d'un photon du visible. (vrai).
D) Dans
une plage de longueur d'onde inférieure à celle du visible et l'énergie
d'un photon est inférieure à celle d'un photon du visible. (faux).
Seuls les rayonnements ionisants sont dangereux, il n'y a pas de
précaution particulière à prendre avec un faisceau de rayonnement non
ionisant. (faux).
La lumière
laser est dangereuse pour l'oeil.
Une chambre
d'ionisation peut être utilisée pour :
A) Détecter la teneur en monoxyde de carbone.
B) Mesurer le débit de dose pour certains rayonnements ionisants. Vrai.
Une chambre d'ionisation est un détecteur de particules qui repère le passage des électrons et des ions produits lors de l’ionisation du milieu gazeux par la particule.
C) Mesurer l'intensité de la lumière laser.
D) Détecter une atmosphère explosive.
E) détecter une fuite de vide.
F) Détecter une fuite de gaz.
Qu'est ce qui
différentie deux isotopes ?
Deux isotopes ne se différencient que par leur nombre de neutrons. Ils
posèdent le même numéro atomique.
Définissez la
radioactivité a, ß-, ß+ et g et indiquez les moyens de s'en
protéger.
a
: noyaux d'hélium peu pénétrant, une simple feuille de journal peut les
arrêter.
ß-(électron) ; ß+ (
positon) arrêtés par quelques centimètres de plomb.
g
: onde électromagnétique de forte énergie, arrêtés par quelques
décimètres de plomb.
Le phosphore 32 est un émetteur ß-. Ecrire l'équation de sa
désintégration.
3215P
--->3216S
+ 0-1e.
Tout atome est caractérisé par son nucléide AZX.
Définir A, Z
et X.
X : symbole de l'élément chimique ; Z : numéro atomique ; A : nombre de
nucléons.
Qu'est ce que
la longueur d'onde ?
La longueur d'onde est la distance parcourue par l'onde durant une
période temporelle à la célérité v.
Qu'est ce
qu'une onde mécanique ?
Une onde mécanique est la propagation d'une perturbation dans
un milieu matériel avec transport d'énergie, sans transport de matière.
Que mesure un
spectrophotomètre ?
Un spectrophotomètre mesure une absorbance, grandeur sans dimension.
Indiquer sur
le schéma suivant les trois états de la matière ainsi que les noms des
six changements d'état.
1
: fusion ; 2 : solidification ; 3 : sublimation ; 4 : condensation à
l'état solide; 5 : ébullition ;
6 : liquéfaction ou condensation à l'état liquide.
Déterminer si
les matériaux suivants sont conducteur, semi-conducteur ou isolant.
Fe, Cu, Au, Ti : conducteurs ; Si, Ge, AsGa : semi-conducteur ; SiO2,
diamant, Si3N4 : isolant. Fe3O4 : demi-métallique.
Déterminez si
les matériaux suivants sont cristallisés ou amorphes.
Verre à vitre, Pyrex : amorphe ; acier, diamant : cristallisés.
Précisez les
différences entre la microscopie optique et électronique.
La microscopie optique utilise la lumière et peut observer des objets
dont les dimensions sont supérieures à la longueur d'onde de la lumière
visible. Au de à la diffraction rend impossible l'observation.
La microscopie électronique utilise des faisceaux d'électrons. Les
longueurs d'onde de ces derniers étant bien inférieures à celle du
visible, on peut observer des objets beaucoup plus petits.
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Dessiner
un objet placé à 5 cm d'une lentille convergente de distance
focale 3 cm ainsi que son image.
Deux voitures sont à une distance
de 1 km. La voiture de devant roule à 50 km/h et celle de derrière à 60
km/h.
Quelle
distance devra parcourir la deuxième voiture et en combien de temps
pour rattraper la première ?
d1 = v1 t +1000 avec v1
= 50/3,6 =13,89 m/s ; d2
= v2 t
avec v2 = 60/3,6 = 16,67 m/s.
A l'instant de la rencontre :
v1 t +1000 = v2
t ; t =
1000/(v2-v1)
=1000/(16,67-13,89) =360 s ou 6 minutes.
Distance parcourue : 16,67 *360 = 6000 m ou 6 km.
Modélisation
du temps mort pour les détecteurs de radiation.
Soit un détecteur de rayonnement adapté aux particules ß-
et placé proche d'une source de carbone 14 ( émetteur ß-)..
Les particules émises par la source qui passent par la fenètre d'entrée
du détecteur peuvent être détectées. Après que le détecteur ait compté
une particule, il reste aveugle pendant un temps T appelé « temps mort
». Pendant ce temps, les particules qui arrivent sur le détecteur ne
sont pas comptée.
Il existe deux cas extrêmes de détecteurs :
• les détecteurs non paralysables dit à temps mort fixe
• les détecteurs paralysables dit à temps mort cumulatif ou
reconductible.Pour
les détecteurs non paralysables, une deuxième particule qui arrive dans
le détecteur alors que celui-ci est aveugle n’entraîne pas une
augmentation du temps mort ainsi après le temps T qui aura commencé à
l’arrivée de la première particule sur le détecteur, le détecteur sera
de nouveau sensible.
Pour les détecteurs paralysables, une deuxième particule qui arrive
dans le détecteur alors que celui-ci est aveugle n’est bien sûr pas
détectée mais réinitialise le temps nécessaire au détecteur pour
redevenir sensible. Ainsi, le détecteur ne redeviendra sensible
qu’après un temps T après la dernière particule arrivée durant le temps
où le détecteur est aveugle.
Les détecteurs réels ont un comportement entre ces deux cas extrêmes.
Soit y le nombre de particules par seconde comptées par le détecteur.
Soit x le nombre de particules par seconde qui passent la fenêtre
d’entrée et qui interagissent dans le détecteur.
x-y est donc le nombre de particules par seconde qui arrivent dans le
détecteur alors que celui-ci est aveugle.
Le but de cet exercice est de tracer les courbes y en fonction de x
pour un T donné dans le cas d’un détecteur paralysable et dans le cas
d’un détecteur non paralysable.
Pour
les calculs nous étudierons le cas d’un détecteur avec T=2 10-4s.
Pour cela, nous allons étudier les fonctions y=f(x) pour les détecteurs
non paralysables et y=g(x) pour les détecteurs paralysables.
Cas
du détecteur non paralysable :
Si on a y particules détectées en 1 seconde, le détecteur est aveugle
pendant le temps yT.
Ainsi, on n’a pas compté y particules en une seconde mais uniquement
pendant le temps 1-yT. On en déduit x = y / (1-yT).
Quelle
est la fonction f telle que y = f(x) ?
x(1-yT) = y ; x-xyT = y ; y +xyT = x ; y = x/(1+xT).
soit f ’ la dérivée de f par rapport à x. Donnez la fonction f ’(x) et
étudiez son signe pour x variant entre 0 et +∞
u = x ; v = 1+xT ; u' = 1 ; v' = T ; f ' =(u'v-v'u) / v2
=(1+xT-xT) / (1+xT)2 = 1 / (1+xT)2.
f ' est toujours positive
Calculer
f(0), f '(0) et la limite de f(x) quand x tend vers l'infini.
f(0) = 0 ; f '(0) = 1 ; y = 1/(1/x+T) ; quand x tend vers l'infini, y
tend vers 1/T =5000.
Cas
du détecteur paralysable :
Pour trouver la fonction g, on s’intéresse aux intervalles de temps
séparant deux interactions dans le détecteur alors que le nombre
d’interaction moyenne est de x interactions par seconde. On se demande
alors quelle est la distribution de temps entre deux intervalles
successifs. On suppose qu’à l’instant 0, une particule interagit dans
le compteur. La probabilité pour qu’il n’y ait pas de deuxième
particule pendant un temps t est la probabilité de Poisson d’avoir 0
alors que l'espérance est xt, c'est à dire e-xt.
La probabilité qu’il y ait une particule qui arrive pendant un
intervalle de temps dt est xdt. En combinant ces deux probabilités, on
a la probabilité P(t) d’avoir une deuxième particule entre le temps t
et le temps t+dt. P(t)=xe-xtdt.
La probabilité d’avoir un temps supérieur à T entre deux particules qui
arrive dans le compteur est donc égale à e-xT.
Le taux d’apparition de tels intervalle est donc xe-xT
et c’est aussi y. Donc y=g(x)= x e-xT.
Soit g’ la dérivée de g par rapport à x.
Donnez la
fonction g’(x) et étudiez son signe pour x variant entre 0 et +∞.
u = x ; v = e-xT ; u' = 1 ; v' = -Te-xT
; g' = u'v + v'u = e-xT
-xT e-xT = e-xT(1-xT).
e-xTest toujours positif ; si x < 1/T, g'
est positive ; si x = 1/T, g' est nulle ; si x > 1/T, g' est
négative.
Montrez que
la courbe y=g(x) passe par un maximum pour x=xm.
g est croissante entre 0 et xm = 1/T ; g est
décroissante pour x >xm ; g passe par un
maximum pour x=xm = 5000 s-1.
Calculez xm et ym.
ym = 1 / T e-1 =5000
*0,3678 ~1840 s-1.
Calculer
g(0), g '(0) et la limite de g(x) quand x tend vers l'infini.
g(0) = 0 ; g '(0) = 1 ; quand x tend vers l'infini, y tend
vers zéro.
soit g’’(x) la dérivée seconde de g par rapport à x.
Calculer g’’(x).
g' = e-xT(1-xT). On pose u = e-xT
; v = (1-xT) ; u' = -Te-xT ; v' = -T ; g" = u'v
+ v'u = -Te-xT(1-xT)-Te-xT
= -Te-xT (2-xT).
. Montrez que la courbe
y=g(x) présente un point d’inflexion pour x=xi = 10000 s-1.
g" s'annule pour xi = 2/T; g présente donc un
point d'inflexion.
Calculer xi et yi.
yi = xi e-xiT =
10000 e-2 =1353 s-1.
Sur un même
graphique, représentez les courbes y=x, y=f(x) et y=g(x).
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Chimie.
Citez trois facteurs suceptibles
d'accélérer une réaction chimique.
La concentration
des réactifs, un catalyseur et la température sont des facteurs
cinétiques.
Qu'est-ce
qu'une réaction endothermique ?
Une
réaction exothermique dégage de la chaleur. Une réaction endothermique
absorbe de la chaleur.
Identifier.
Ag ( argent) ; Pb ( plomb ) ; H ( hydrogène ) ; C ( carbone ) ; Zn (
zinc ) ; Ar ( argon ) ; S ( soufre ) ; Be ( berylium ) ; Sn ( étain ).
Qu'est-ce
qu'un catalyseur ?
Un catalyseur accélère une réaction chimique thermodynamiquement
possible. Dans certains cas, il peut orienter la réaction si plusieurs
issues sont possibles. Il est régénéré dans la dernière étape du
processus et de ce fait, n'apparaît pas dans le bilan.
Qu'est-ce
qu'un polymère ?
Un polymère est une macromolécule issue de la condensation de motifs
élémentaires, le monomère.
Qu'est-ce que
le pH ?
pH signfie : potentiel hydrogène. pH = - log [H3O+]
avec [H3O+]
exprimée en mol/L.
Citez
différents types d'eau purifiée et le moyen de les obtenir.
Eau distillée obtenue par distillation.
Eau douce, obtenue par élimination des ions calcium et magnésium (
résines échangeuses d'ions )
Eau déminéralisée, eau osmosée.
Vous devez réaliser u mélange stoechiométrique avec 15 g de C12H18O2
et du C7H11O3N
de densité 1,06.
Quel volume
de C7H11O3N devez-vous utiliser ?
M(C12H18O2)
=12*12 +18 +32 =194 g/mol ; n = 15 / 194 = 0,0773 mol.
M(C7H11O3N)
=7*12+11+3*16+14=157 g/mol ; m = 0,0773 *157 = 12,1 g. Volume : 12,1 /
1,06 =11,5 mL.
Schématiser
la pile Daniell Zn/Zn2+//Cu2+/Cu. Indiquer le sens des
électrons, l'anode, la cathode. Ecrire les réactions aux électrodes.
Le
zinc s'oxyde et constitue l'anode négative : Zn(s) = Zn2+aq
+ 2e-.
Le cuivre constitue la cathode : les ions Cu2+
se réduisent. Cu2+aq
+ 2e- = Cu(s).
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