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 MathématiquesConcours audioprothésiste Bordeaux 2015.
 
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Exercice 1.1. L'équation
z3-1=0 admet dans R :
 A. trois solutions distinctes dans C, vrai ; B. trois solutions distinctes dans R ; C. aucune solution dans R ; D. aucune solution dans C.  
            E. aucune des propositions
précédentes..
 z3=1 ; solution évidente z = 1.
 (z-1)(az2+bz+c)=0.
 On développe et on identifie les termes : az3-az2+bz2-bz+cz-c=z3-1 ; a =b=c=1 ;
 Solutions dans C de  : z2+z+1=0 ; D = 1-4 = -3 = 3i2.
 z = (-1± i 3½) / 2.
 
 Exercice 2. L'écriture exponentielle du nombre complexe suivant est ::
 
  3.  L'écriture algébrique du nombre complexe suivant est :
 
  Exercice 3. On considère les nombres complexes z1 = 3 exp(ip/10) et z2 = -3 exp(-ip/10).
 4. z15 est :
 A. un réel strictement positif, vrai ; B. un réel strictement négatif;
 C. un
imaginaire pur
de partie imaginaire strictement positive
;
 D. un
imaginaire pur
de partie imaginaire strictement négative ;
 E.aucune des propositions
précédentes.
 35 exp(ip/10 x5) =35 exp(2 i p) = 35.
 
 5.  z25 est :
 A. un réel strictement positif ; B. un réel strictement négatif, vrai ;
 C. un
imaginaire pur
de partie imaginaire strictement positive
;
 D. un
imaginaire pur
de partie imaginaire strictement négative ;
 E.aucune des propositions
précédentes.
 (-3)5 exp(-ip/10 x5) = -35 exp(-2 i p) = - 35.
 
 6.  z250 est :
 A. un réel strictement positif ; B. un réel strictement négatif, vrai ;
 C. un
imaginaire pur
de partie imaginaire strictement positive
;
 D. un
imaginaire pur
de partie imaginaire strictement négative ;
 E.aucune des propositions
précédentes.
 (-3)50 exp(-ip/10 x50) = 350 exp(-5 i p) =  350 exp(- i p)= - 350.
 
 7. L'argument de z2 est :
 A. p/10 ; B. -p/10. C. -9p/10 ; D.  9p/10, vrai. E. 11p/10. 
            3i2 exp(-ip/10) =3exp(ip) exp(-ip/10) =3exp(-ip/10+ip)=3 exp(i9p/10).
 8.L'argument de (z1/z2) est :
 A. 1 ; B.0. C. p/10 ; D.  p/5, vrai. E. -4p/5. Vrai.
            p/10-9p/10= -8p/10= -4p/5.
 
 Exercice 4.
 9.
  Réponse B.
 
 
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 | 10. Le Point D apparteint au segment : A. [AB] ; B. [AC], vrai. C. [BC] ; D.  [AO]. E. aucune des propositions
précédentes.
 
 11. Le triangle BCD
est :
 A.rectangle en C. B. rectangle en B.
            C. isocèle en B.
            D. isocèle en D,
            vrai ; E. équilatéral.
 DC2 =(-2)2+(-3)2 = 13 ; DB2 =32+(-2)2 = 13.
 
 Exercice 5.
 12. La valeur de l'intégrale suivante est :
 
  Exercice 6. On donne ln(2) ~0,7 ; e2~7,4.
 
  13. L'ensemble de définition de f
est
 A. ]-oo ; -3[ union ]3 ; +oo[;  B. R-{-3 ; 3} ; 
C. [-3 ; +oo[; D. ]- 2; +oo[ ; E. ]-3 ; +oo[, vrai.
 
 14. La limite en +oo de f  est :
 A. +oo ; B. -oo ;C. 0  Vrai; D.  1 ;
 E. aucune des propositions
précédentes.
 Par croissance comparée, la fonction puissance croît plus vite que le logarithme au voisinage de l'infiin.
 
 15. La limite en -oo de f  est :
 A. +oo ; B. -oo ;C. 0 ; D.  1 ;
 E. aucune des propositions
précédentes. Vrai.
 La fonction n'est pas définie en -oo.
 
 16. Sur son ensemble de définition f est :
 A. strictement
croissante ;  B. strictement décroissante ; 
            C. constante.
 D. non
monotone, vrai ;E aucune des propositions
précédentes.
 
 17. Sur [-2 ; 1] f
est :
 A. strictement
croissante, vrai ;  B. strictement décroissante ; 
            C. constante.
 D. non
monotone ; E aucune des propositions
précédentes.
 
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 | 18.  
 19. 
            Sur l'ensemble de définition de f, une des primitives F de f a pour expression ::
 A.  (ln(x+3))3
;
 on dérive en posant u = ln(x+3) ; u' = 1/(x+3) ; F = u3 ; F' = 3u2u'=3 (ln(x+3))2 /(x+3)=3 f(x)
 B. (ln(x+3))3
; C. 1/3 (ln(x+3))3 *ln(x+3) ;
 D. 1/3(ln(x+3))3 vrai ; E. 2ln(x+3).
 
 Exercice 7.
 g(x) = sin (4x +p/4)
 20. La fonction g est :
 A. impaire
; B. paire ;
            C.parfois paire, parfois impaire ;
 D. ni paire, ni impaire, vrai ; E. à la fois paire et impaire.
 
 21.  La fonction g est :
 A.  non périodique
; B. périodique de période 2p
            ; C. périodique de période 8p
 D.  périodique de période 0.25p ; E.  périodique de période 0,5p ; vrai.
 
 22.  La limite en +oo de g(x) :
 A. n'existe pas vrai ; B. vaut zéro; C. vaut 2-½ ;
 D. vaut +oo ; E. vaut -oo.
 
 23. 
            La
limite en +oo de g(1/x)  :
 A. n'existe pas
; B. vaut 0;
            C. vaut 2-½ , vrai ;
 D.vaut +oo ; E. vaut -oo.
 La
limite en +oo de g(1/x) est égale à la limite en 0 de g(x) soit sin 45 =2½ / 2.
 
 24. Pour tout réel x, la dérivée de g(x) est définie par :
 A. cos(4x)
; B. -4 cos(4x);
            C. 4 cos (4x +p/4), vrai ;
 D.0,25 cos (4x +p/4)
; E. -4cos (4x +p/4).
 
 25. Pour tout réel x, la primitive G de la fonction g, vérifiant G(0)=0 est :
 A. -0,25 cos (4x +p/4) 
            .
            B. 0,25 cos (4x +p/4)-2½/8 ; C. -4cos (4x +p/4).
 D. -4cos (4x +p/4)+ 2 racine carrée (2). E. aucune
des propositions précédentes. 
            Vrai.
 G(x) =  -0,25 cos (4x +p/4)+ Cste ;  G(0 ) = -0,25 cos 45 +Cste = 0 ; Cste = cos 45 / 4 =+2½/8.
 
 Exercice 8. h(x) = -5x -6 cos (x/3).
 
  26. La limite en +oo de h(x) est égale
à :
 A. +oo. 
            B.
-oo.Vrai  C. 0. D. 1. E. aucune
des propositions précédentes.
 Le terme en cosinus est compris entre -1 et 1, négligeable devant -5x au voisinage de l'infini.
 
 27. Pour tout x réel, on a h'(x) =
 A. -5-6 sin (x/3) 
            B. -5+6 sin (x/3). C. -5-2 sin (x/3). D. -5+2 sin (x/3), vrai. E. aucune
des propositions précédentes.
 
 28. Le nombre de solution(s) sur R de h(x)=0 est :
 A. 0. 
            B. 1, Vrai. C. 2. D. infini. E. aucune
des propositions précédentes.
 
 29. La plus grande des solutions de h(x)=0 :
 A. est nulle. 
            B. est strictement positive. C. est strictement négative, vrai. D. n'existe pas.
 E. aucune
des propositions précédentes.
 
 Exercice 9.
 Soit X une variable aléatoire suivant une loi normale de moyenne -2 et d'écart type s telle que P(X>0)=a.
 30. Alors :
 A.a=0 ;  B. a=0,5 ; 
            C. a <0,5, vrai ;.D. a >0,5 ; E aucune
des propositions précédentes..
 
 31. P(X<-1) -PX(>1) :
 A. n'existe pas ;  B. est strictement négative 
            ;  C. est strictement positive  Vrai..
 D. est nulle ;E aucune
des propositions précédentes.
 
 32. P(X< -3)-P(X >-1) :
 A. n'existe pas ;  B. est strictement négative 
            ;  C. est strictement positive  .
 D. est nulle Vrai ;E aucune
des propositions précédentes.
 -1 et -3 sont symétriques par rapport à la moyenne m = -2.
 
 33. P(X= -1) :
 A. =0,5 ;  B. =0, vrai
            ;  C. =a  .D. -0,5 ; E aucune
des propositions précédentes
 
 34.P(X> -2) :
 A. =0,5, vrai ;  B. =0  ; 
            C. =a. D. =-0,5 ; E aucune
des propositions précédentes.
 
 
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