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Une solution de chlorure de cuivre II est électrolysée avec des électrodes de graphite. Les réactions théoriquement observables aux électrodes. oxydation à l'anode positive : 2 H2O --> O2 + 4H+ + 4e- (1) 2Cl- --> Cl2 + 2e-(2) réduction à la cathode négative : 2H2O+ 2e- --> H2 + 2 HO- Cu2+ + 2e- --> Cu (3) On constate un dégagement de dichlore au cours de l'expérience: la tension minimale appliquée est de1,39 -0,34 = 1,05 V.
volume des gaz : quantité d'électricité mise en jeu : I(A) * t(s) = 2*9650 = 19300 C la charge d'une mole d'électrons est égale à : 96 500 C Qté de matière d'électrons : 19300 / 96500 = 0,2 mol. On note V le volume de dioxygène formé , soit ½ V le volume de Cl2 formé Qté de matière de dioxygène : V / 24 mol en conséquence d'après (1) : 4*V/24 mol d'électrons Qté de matière de dichlore : 0,5V / 24 mol en conséquence d'après (2) : 2*0,5*V/24 = V/24 mol d'électrons par suite : 0,2 = 4*V/24 + V/24 = 5V/24 V = 0,96 L O2 et 0,48 L Cl2. Masse maximale de solide obtenu : masse de cuivre : en supposant qu'il n'y ait pas de dégagement de dihydrogène à la cathode, la demi équation (3) donne : 0,2 mol d'électrons soit 0,1 mol de cuivre 0,1 *63,5 = 6,35 g. si l'électrode est en cuivre et non en graphite, le cuivre de l'anode peut s'oxyder selon Cu --> Cu2+ + 2e-. |
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